Rencontre avec les maires et Cissé Bacongo : « La liste des 176 Zones à risque comporte des zones qui ne sont plus à risque notamment Anono » (Cissé Bacongo)... « Le ministre gouverneur que je suis n’ira jamais sur un terrain qui n´est pas le sien et il n´y aura jamais de conflit entre nous » (Bacongo). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf   ◊    « Les sites à risques ne sont pas des sites à déguerpir, à démolir, il s´agit des sites sur lesquels se trouvent un risque d’inondation, d´éboulement(...) Il s´agit de régler des soucis sur ces sites» (Cissé Bacongo)… Côte d’Ivoire/Projet d´Aménagement des Quartiers Restructurés d´Abidjan (PAQRA): « Aucun décaissement n’a été fait depuis deux ans que les accords ont été signés » ( Conseil des Ministres). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf    ◊   
DEPECHES

Les fonctionnaires ivoiriens dénoncent une ’’violation flagrante’’ des libertés syndicales

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La Plateforme nationale des syndicats du public a dénoncé, jeudi, ‘’une violation des libertés syndicales’’ suite au refus de l’administration d’accorder une salle pour la tenue, vendredi, d’une assemblée générale extraordinaire. 

 

Selon un communiqué de la Plateforme transmis, jeudi à APA et signé par son président Théodore Gnagna Zadi, ‘’ la Plateforme Nationale a été informée à la dernière minute du refus de l’amphi B de l’Université de Cocody, lieu habituel de la ténue des AG de la Plateforme’’, rapporte le communiqué.

 

‘’ La Plateforme nationale condamne avec la dernière énergie cette énième violation flagrante des libertés syndicales, prend l’opinion nationale et internationale à témoin face au double jeu du Gouvernement qui demande une trêve et jette de l’huile sur le feu’’, dénonce M. Gnagna.

 

En conséquence, poursuit le texte, ‘’la Plateforme décide du report de l’Assemblée Générale nationale prévue le vendredi 10 mars 2017, et organise des AG éclatées sur toute l’étendue du territoire nationale à la même date du vendredi 10 mars’’, précise le communiqué qui tient le gouvernement pour ‘’unique responsable d’un éventuel échec des négociations en cours’’.

 

Après une grève suivie de trois semaines début janvier, les syndicats de fonctionnaires avaient suspendu leur mouvement pour ‘’donner une chance aux négociations’’ selon eux, en accordant ‘’un mois’’ au gouvernement.

 

En lieu et place de ‘’ solution aux revendications’’ des fonctionnaires, le gouvernement leur demande une ‘’trêve sociale’’. Pour les syndicats des fonctionnaires, il n’a jamais été question de mettre en ‘’parenthèses’’ leurs revendications qui se résument au ‘‘paiement intégral du stock des arriérés de salaires’’.

 

L’Assemblée générale, initialement prévue pour vendredi, devrait se prononcer sur la ‘’reprise ou non de la grève’’ après que le ministre de la Fonction publique, Pascal Abinan a remis, mercredi, un mémorandum de ‘’trêve sociale’’.

 

HS/ls/APA



10. Mar, 2017