Rencontre avec les maires et Cissé Bacongo : « La liste des 176 Zones à risque comporte des zones qui ne sont plus à risque notamment Anono » (Cissé Bacongo)... « Le ministre gouverneur que je suis n’ira jamais sur un terrain qui n´est pas le sien et il n´y aura jamais de conflit entre nous » (Bacongo). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf   ◊    « Les sites à risques ne sont pas des sites à déguerpir, à démolir, il s´agit des sites sur lesquels se trouvent un risque d’inondation, d´éboulement(...) Il s´agit de régler des soucis sur ces sites» (Cissé Bacongo)… Côte d’Ivoire/Projet d´Aménagement des Quartiers Restructurés d´Abidjan (PAQRA): « Aucun décaissement n’a été fait depuis deux ans que les accords ont été signés » ( Conseil des Ministres). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf    ◊   
DEPECHES

KKB annonce son retour au PDCI pour ‘’prendre’’ sa place et être à la ‘’disposition’’ du parti

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KKB s’exprimait à l’issue d’un entretien avec le Secrétaire exécutif dudit parti, Maurice Kakou Guikahué.«J’ai décidé de revenir au PDCI pour prendre ma place, me mettre à la disposition de la direction du parti », a souligné Bertin Konan Kouadio qui était en rupture de ban avec son parti.

 

« Je n’ai jamais cessé de dire aux ivoiriens mon attachement à l’œuvre d’Houphouët (fondateur du parti), je n’ai jamais cessé de dire aux ivoiriens que je suis un militant du PDCI-RDA », a ajouté l’ancien président de la jeunesse du PDCI-RDA au siège de ce parti qu’il n’avait pas visité depuis 2013.

 

Au nombre des raisons de ce retour de KKB au PDCI, figurent les « résolutions claires, rien d’autres que ce que j’ai toujours revendiqué » à l’issue du séminaire de Bingerville, en avril dernier. 

 

Il y a également la candidature d’un cadre du parti en 2020, la recomposition de la Commission électorale indépendante (CEI) et la révision du découpage électoral, réclamées par le séminaire de Bingerville.

 

« J’ai toujours pensé qu’en politique, l’élection présidentielle est la mère de toutes les batailles (…). Nous nous ne sommes pas compris en 2015 », a regretté l’ex-candidat malheureux à la présidentielle d’octobre 2015.«Ce que je veux de la Côte d’Ivoire, c’est la stabilité, le bonheur retrouvé », a-t-il conclu.

 

SY/ls/ APA



20. Jui, 2017