Rencontre avec les maires et Cissé Bacongo : « La liste des 176 Zones à risque comporte des zones qui ne sont plus à risque notamment Anono » (Cissé Bacongo)... « Le ministre gouverneur que je suis n’ira jamais sur un terrain qui n´est pas le sien et il n´y aura jamais de conflit entre nous » (Bacongo). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf   ◊    « Les sites à risques ne sont pas des sites à déguerpir, à démolir, il s´agit des sites sur lesquels se trouvent un risque d’inondation, d´éboulement(...) Il s´agit de régler des soucis sur ces sites» (Cissé Bacongo)… Côte d’Ivoire/Projet d´Aménagement des Quartiers Restructurés d´Abidjan (PAQRA): « Aucun décaissement n’a été fait depuis deux ans que les accords ont été signés » ( Conseil des Ministres). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf    ◊   
DEPECHES

Côte d’Ivoire: coupable d’adultère, un transporteur menacé de bannissement de la ville de Touba

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bidjan (Côte d’Ivoire) - Menacé de bannissement de la ville de Touba (646 km, au Nord-ouest), suite à une affaire d’adultère, Vaty Bamba, transporteur de son état, s’en remet aux autorités administratives de la ville.

 

Dans un courrier adressé au Préfet de région, préfet du Département de Touba, dont APA a eu copie, Vaty Bamba, 45 ans, informe l’autorité préfectorale que ‘’depuis deux mois’’, il est ‘’physiquement et moralement harcelé’’ par le Chef de Canton de Touba, Bambadjan Fadiga, un ancien commissaire de police à la retraite.

 

A l’origine, explique le transporteur, un cas d’adultère dont il s’est ‘’rendu coupable’’ et pour lequel il a été ‘’copieusement bastonné, mis nu et posté sur les réseaux sociaux’’.

 

Malgré ‘’les amendes payées et le pardon accepté’’ par le cocu et sa famille, le chef de canton et son conseil, poursuit-il, ont décidé de ‘’me bannir de Touba pour une période de cinq ans’’. Alors que soutient M. Bamba, ‘’ma moto et mon téléphone confisqués’’ m’ont été ‘’remis’’ en guise d’apaisement.

 

‘’(…) je dois sortir de Touba sous peine d’être agressé physiquement et même de voir ma maison détruite’’, informe-t-il le préfet avec ampliation au Procureur de la République, au Commissaire de Police, au commandant de brigade de la gendarmerie et à la commission nationale des Droits de l’homme.

 

HS/ls/APA



22. Aoû, 2017